20 août 2016 14 e dimanche après la Pentecôte

Quatorzième dimanche après la Pentecôte

Evangile

(Mt 22,2-14)

 

Le Seigneur dit cette parabole: Le Royaume des cieux est semblable à un roi qui fit une festin de noces pour son Fils. Il envoya ses serviteurs convier les invités à la noce, mais ils ne voulurent pas venir. De nouveau il envoya d'autres serviteurs avec mission de dire aux invités: Voyez, j'ai préparé mon festin, on a tué mes bœufs et mes bêtes grasses, tout est prêt, venez aux noces. Mais ils ne tinrent pas compte de cette invitation et s'en allèrent qui à son champ, qui à son commerce, et les autres s'emparèrent des serviteurs, les maltraitèrent, et les tuèrent. Quand il apprit cela, le roi fut irrité et envoya ses troupes, qui fit périr les meurtriers et incendièrent leur cité. Alors il dit à ses serviteurs : le festin est prêt, mais les invités n'en étaient pas dignes ; allez donc dans les carrefours et conviez aux noces tous ceux que vous pourrez trouver. Les serviteurs s'en allèrent par les chemins, ramassèrent tous ceux qu'ils trouvèrent, les mauvais comme les bons, et la salle de noces furent remplie de convives. Le roi entra pour voir les convives et il aperçut un homme qui ne portait pas l'habit nuptial. Il lui dit: "Mon ami, comment es-tu entré ici sans avoir l'habit nuptial? L'homme resta muet. Alors le roi dit aux serviteurs : Jetez-le pieds et poings liés dans les ténèbres extérieures, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Car il ya beaucoup d'appelés mais peu nombreux sont les élus.

 

Apôtre

Lecture de la seconde épître du saint Apôtre Paul aux Corinthiens

(   21-24 : 2.14)

 

Frères c'est Dieu qui nous a donné l'onction et qui nous affermit dans le Christ avec vous, lui qui nous a marqué de son sceau et qui a mis dans nos cœurs, les arrhes de l'Esprit. Pour moi, j'en prends Dieu à témoin, sur ma vie: si je ne suis plus venu à Corinthe, c'était pour vous ménager. Car nous n'entendons pas régenter votre foi, puisqu'en elle vous tenez bon: nous voulons seulement contribuer à votre joie. En moi-même, j'ai résolu de ne pas vous attrister; car, si moi je vous fais de la peine, comment pourrais-je attendre de la joie de ceux que j'aurais moi-même attristés? Et c'est justement pour cela que je vous ai écrit, afin de ne pas éprouver de la tristesse, en venant, du fait de ceux qui devraient me donner de la joie. Car je suis persuadé que vous tous, vous faites vôtre ma joie.. Oui, j'étais tellement inquiet et j'avais le cœur grandement affligé, lorsque je vous ai écrit, au milieu de tant de larmes, non pas pour vous faire de la peine, mais afin que vous sachiez l'extrême affection que j'ai pour vous. 



20/08/2016
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